Rue de Toulouse, à Rennes
Eh bin moi, je connais un très joli escalier bleu et blanc qui vaut vraiment le détour, pour qui apprécie les beaux endroits.Alors, c'est vrai, je le reconnais, ces quelques clichés ont été pris l'année dernière mais franchement, si je ne l'avais pas dit, personne ne l'aurait su. À part peut-être les habitants de cette escalier (si tant est qu'ils fassent partie de mes lecteurs). La feinte, c'est justement que c'était à noël dernier donc ça passe (je dis ça pour le petit sapin blanc).

Par avance, je vous prie de m'excuser pour la qualité relativement médiocre des photos qui ne rendent pas une justice maximale à la beauté des lieux. Mon excuse ? Des photos prises dans la semi-pénombre avec mon iPomme préféré qui, malgré toutes les qualités que je lui reconnais universellement, ne remplacera jamais mon bon vieux Nikon Reflex des familles. Que je n'avais pas avec moi ce jour-là, cela va sans dire.
Je dois préciser, pour ceux qui ne connaissent pas Rennes (et il y en a encore !), la rue de Toulouse se situe dans le magnifique quartier des Lices, partiellement piétonnier et agrémenté, entre autres, de nombreuses maisons à colombages et d'arcades du plus bel effet. Reconnaissons-le, c'est aussi le quartier super chicos et chargé d'histoire de cette magnifique ville bretonne.

Juste pour replacer dans son contexte, il se trouve que c'est l'escalier que j'emprunte pour aller chez mon naturopathe. L'ambiance du lieu est plutôt rustique : vieux parquet qui grince, probables peintures au plomb et marches glissantes et inégales où la moindre seconde d'inattention nous expédie illico au bas de l'escalier moyennant une chute bien brutale (je n'ai pas testé, mais il s'en est fallu de peu).
Les plafonds et les portes se présentent de façon aléatoire au format maison de gnome, type hobbit ou dans le style salle de bal genre Château de Versailles, j'entends par-là des plafond allant de 1,80 m à 4 m de haut, presque sans intermédiaire, avec des portes à l'avenant. Ce qui nous donne un peu l'impression d'être d'Alice au pays des merveilles ayant (ou n'ayant pas) mangé les bouts de champignons magiques de la fameuse chenille.
Aucun commentaire :
Publier un commentaire
Quelque chose à dire ?
Ne cherchez plus, c'est ici :